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Flash d'informations

Direction de la Communication

Direction de la Communication

NDOLENODJI D. ALIXE NAIMBAYE, Secrétaire d’État aux Finances et au Budget

La Secrétaire d’Etat aux Finances et au Budget , Mme Ndolenodji Alixe Naimbaye est une communicatrice. Titulaire d’un DESS en Langues et Commerce International. Ces diplômes ont été obtenus respectivement à l’Université de Valenciennes et à l’Université de Cergy Pontoise en France. Parfaitement trilingue elle a d’ailleurs un niveau DESS en tant que Négociateur trilingue du Commerce International.

Mme Ndolenodji Alixe Naimbaye fut consultante en communication dans plusieurs organisations et projets.

C’est du poste du Directrice Générale de la Chambre de Commerce, d’Industrie, d’Agriculture, des Mines et d’Artisanat (CCIAMA) qu’elle fut appelée au Gouvernement le 7 mai 2018 pour occuper le poste de Secrétaire d’État aux Affaires Étrangères, du Ministre de la Communication et des nouvelles technologies. En outre, Mme Ndolenodji D. Alixe Naimbaye est la Vice-Présidente du Groupe d’appui aux négociations au PND,  la Présidente fondatrice de l’association pour la promotion de l’information commerciale et de la communication au Tchad (APIC) et la Secrétaire Nationale à la Communication de l’Association des Femmes Chefs d’Entreprises et Commerçantes entre autres.

Aujourd’hui elle est appelée à occuper le poste de Secrétaire d’État aux Finances et au Budget.

Mme Ndolenodji Alixe Naimbaye, est mariée mère de ….

 

 

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Monsieur ALLALI MAHAMAT ABAKAR est nommé Ministre des Finances et du Budget au terme d'un décret lu hier à la télévision nationale.

 

Monsieur ALLALI MAHAMAT ABAKAR est nommé  Ministre des Finances et du Budget au terme d'un décret lu hier à la télévision nationale.

Monsieur ALLALI MAHAMAT ABAKAR, était  Secrétaire d'Etat aux Finances et aux Budget depuis  le  7 mai 2018 avant d'être nommé Ministre.

Le nouveau Ministre des Finances  est nanti  d’un DESS en Gestion Financière et Fiscalité de l’Université de Poitiers (France).

Il a occupé plusieurs postes de responsabilités :

 ·         Directeur Central de l’investissement, du Patrimoine et de la Gestion Services Centraux Yaoundé ; 

·         Premier Adjoint au Directeur Central de l’investissement, du Patrimoine et de la Gestion Services Centraux Yaoundé ; 

·         Premier Adjoint au Directeur National par Intérim pour le Tchad Ndjamena ; 

·         Directeur de l’Agence de la BEAC Moundou ; 

·         Adjoint au Directeur National Direction Nationale pour le Tchad En charge des études et de la programmation monétaire N’Djamena ; 

·         Chef de Service Crédit et Marché Monétaire  Direction Nationale pour le Tchad N’Djaména ; 

·         Chef de Service de Gestion Direction Nationale pour le Tchad N’Djamena ; 

·         Chef de service Comptabilité Direction Nationale pour le Tchad N’Djaména 

Il est aussi à la base de plusieurs travaux et publications qui sont entre autres :

             -          Financement des PME/PMI : cas des structures régionales (SDR et CEPME), mémoire de DESS (1984) ;

-          Difficultés de financement de l’économie : cas du Tchad (2001)

-          Problématique de la création monétaire et le financement de l’économie en zone CEMAC : cas du Tchad (en cours)

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ISSA MAHAMAT ABDELMAMOUT, Ministre des Finances et du Budget

Le nouveau Ministre des Finances et du Budget ISSA MAHAMAT ABDELMAMOUT est installé officiellement dans ses fonctions ce jour 10 mai 2018 par la Ministre  Secrétaire Générale du Gouvernement.

Il remplace Dr ABDOULAYE-SABRE FADOUL.

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Week-end de la fiscalité organisé par la DGI, CROSET et la Commune 1er Arrondissement de la ville de Ndjamena.

La Direction Générale des impôts et le Cercle de Réflexion et d’Orientation sur la Soutenabilité de l’Economie Tchadienne en collaboration avec la commune du 1er Arrondissement de la ville de N’Djamena,

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REUNION DES MINISTRES DES FINANCES DE LA ZONE FRANC

Le Ministre des Finances et du Budget Dr ABDOULAYE-SABRE FADOUL, accompagné du Directeur   Général du Ministère, du conseiller du Ministre,  du Directeur Général du Trésor et du Directeur National de la BEAC  a pris part le vendredi 13 avril 2018 à Brazzaville à la réunion des Ministres des Finances de la Zone franc. La réunion est présidée par  M. Calixte NGANONGO, Ministre des Finances et du Budget de la République du Congo.

La réunion de Brazzaville se tient dans un contexte économique marqué par une reprise de la croissance à l’échelle du continent africain, les ministres des Finances, les présidents des institutions régionales et les gouverneurs des banques centrales ont rappelé leur souhait d’œuvrer pour le développement des pays de la Zone franc et de mettre en œuvre des politiques économiques soutenables susceptibles de promouvoir une croissance inclusive. Ils ont réitéré leur volonté de continuer à faire de la Zone franc un espace de dialogue ouvert et de coordination des politiques publiques, en lien avec les principaux bailleurs et institutions. Un tel espace d’échange, qui revêt une dimension unique en Afrique, reste un facteur de stabilité et de développement.

L’amélioration de la convergence nominale n’a pas été perdue de vue par les participants, qui reste cependant en-deçà des résultats escomptés. Ils ont en particulier noté les risques découlant d’importants déficits publics et d’un ré-endettement rapide, qui sont susceptibles de remettre en cause les équilibres internes et externes des Etats concernés.

Pour garantir le bon fonctionnement des unions monétaires et préserver la soutenabilité des trajectoires de développement, les ministres des finances, les présidents des institutions régionales et les gouverneurs des banques centrales se sont accordés sur la nécessité de poursuivre et renforcer leur approche coordonnée. De la même façon, la convergence réelle peine à progresser dans la Zone franc, témoignant des nombreux obstacles auxquels se heurte l’intégration régionale. Dans ce contexte, les participants ont souligné la nécessité de poursuivre la mise en œuvre des mesures permettant de renforcer cette intégration régionale, facteur de résilience et de solidarité des Etats de la Zone franc. A ce titre, les participants ont salué la mise en œuvre de nouveaux tableaux de suivi des recommandations, adoptées par les ministres des Finances et portant sur l’intégration commerciale, le développement du crédit et la mobilisation des recettes fiscales. Ces instruments d’orientation des politiques publiques pourront servir d’appui aux efforts de convergence des pays de la Zone franc.

Lors de cette réunion les participants ont noté qu’une majorité de pays de la zone a conclu un programme avec le Fonds monétaire international (FMI), ce qui contribue à l’harmonisation des diagnostics à l’échelle sous-régionale et à la coordination des politiques macroéconomiques ainsi que des réformes économiques et financières mises en œuvre. Les mesures opérées dans le cadre des programmes, et les apports de financements notamment du FMI, de la Banque mondiale, de la Banque africaine de développement, de l’Union européenne et de la France, contribuent conjointement à l’amélioration de la situation économique et de la confiance vis-à-vis de la Zone franc.

En plus, les échanges de cette assise ont porté également sur les enjeux de la lutte contre le financement du terrorisme. Les ministres des Finances, les présidents des institutions régionales et les gouverneurs des banques centrales, ont exprimé leur gratitude à l’endroit du Groupe Intergouvernemental d'Action contre le Blanchiment d'Argent en Afrique de l'Ouest (GIABA) et le Groupe d'Action contre le blanchiment d'Argent en Afrique Centrale (GABAC) pour la production du  document préliminaire sur la question, soutenu par la Banque mondiale.

Ils se sont accordés sur une série d’axes d’action tirée de ce document et invitent les autorités compétentes à s’en inspirer. A l’avenir, le suivi de la mise en œuvre de ces mesures sera assuré par le Comité de liaison anti-blanchiment de la Zone franc.

Les problématiques de mobilisation des ressources intérieures n’ont pas été perdues de vue. les participants ont également échangé sur l’importance de renforcer la lutte contre les flux financiers illicites et le financement du terrorisme via la coopération fiscale internationale et la mise en œuvre de dispositifs adaptés, avec le concours des banques centrales, des commissions bancaires et des organismes régionaux de type GAFI. Les ministres des Finances ont ainsi décidé de soutenir la déclaration de Yaoundé du 15 novembre 2017. Cette déclaration encourage les pays africains, avec le soutien du Secrétariat du Forum mondial sur la transparence et l’échange de renseignements à des fins fiscales, à explorer une collaboration destinée à conforter les efforts des pays africains dans la lutte contre les flux financiers illicites pour améliorer la mobilisation des recettes intérieures.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Une nette amélioration de la performance des régies financière au 1er trimestre 2018

Le Directeur Général du Ministère des Finances et du Budget ABDOULAYE BARH BACHAR représentant le Ministre des Finances a fait  un point de presse le lundi 9 avril 2018.

Dans sa déclaration le Directeur Général a souligné qu’au début de l’année 2018, le Ministère des Finances et du Budget en s’attelant sur les orientations données par les plus hautes autorités a multiplié les initiatives tendant à sécuriser les ressources, à rationaliser et maitriser les dépenses à l’effet de créer les conditions favorable à reprise de  l’économie nationale. Une série d’actions et de mesures a été mise en œuvre en vue d’une mobilisation optimale des recettes.

Au 1er Trimestre 2018, l'on note une nette amélioration de la performance des régies financières dont les recettes cumulées ont atteint 141,984 Milliards FCFA1 contre 87,363 Milliards FCFA au 1er Trimestre 2017, soit une progression de 54 Milliards (+67%) en 2018.

Évolution Globale des recettes au premier trimestre 2018 (milliards de FCFA)

 

Les réalisations de la Direction Générale  des Impôts qui s'étaient établies à 56,303 Milliards au 1er trimestre 2017 ont progressé de +87% au 1er trimestre 2018 pour atteindre 105,351 Milliards ;

La Direction Générale des Douanes et des Droits Indirects a généré 33,853 Milliards sur les trois premiers mois de l'année 2018, contre 23,620 Milliards pour la même période en 2017, soit une augmentation de 43,30%;

Quant aux Domaines et aux services administratifs, leurs réalisations respectives se chiffrent à 1,111 Milliards et 1,667 Milliards contre 3,318 Milliards et 4,120 Milliards, soit une baisse de 67% et 60%. Cette contreperformance provisoire s'explique principalement par la mise à disposition tardive des valeurs.

Il est à rappeler que le 22 février 2018, le Tchad est parvenu à un accord provisoire de restructuration de la dette avec Glencore. Cet accord permettra à notre pays de bénéficier de deux années de grâce dans le remboursement de cette dette une maturité de 12 ans et d'un taux d'intérêt préférentiel. Les retombées de cette restructuration sont attendues à partir du 2ème Trimestre 2018. Autrement dit, les bénéfices de cet accord bien qu'inscrits dans la Loi des Finances 2018 ne sont pas encore enregistrés dans ces réalisations du 1er Trimestre.

Une situation encore  précaire

La bonne performance des régies a permis au Trésor Public d'assurer  les charges de fonctionnement courant des services de l'État, d'apurer les arriérés des salaires et une partie des arriérés de la dette intérieure dont  l'intégralité des créances des biens et services. Et aussi, d'honorer l'essentiel des échéances de la dette extérieure. Ainsi, pour la première fois depuis le début de la crise, les salaires des agents publics sont payés par le Trésor Public sans appui extérieur et sans endettement.

Malg ces résultats encourageants, nos finances publiques demeurent encore fragiles et leur équilibre reste tributaire de l'assistance de nos partenaires, dans la mesure le Trésor Public peine à honorer les titres publics arrivés à échéance. De plus, le plus grand défi reste la relance de l'économie nationale via le redémarrage des investissements publics gelés du fait de la conjoncture.

En termes clairs, notre pays est certes sur la bonne voie mais il est loin d'être finitivement sorti de toutes les difficultés qui demeurent nombreuses et qui imposent davantage de rigueur dans la gestion publique.

 Poursuivre et amplifier les efforts d'assainissement

Il ne fait aucun doute qu'il reste encore une importante marge de progression des recettes publiques, pour peu que l'on parvienne à colmater toutes les sources des déperditions et à parfaire la gouvernance financière de façon générale.

Dans ces conditions, plus que jamais, la consolidation et la poursuite des réformes en cours ainsi que la mobilisation de tous sont une nécessité absolue, afin de redresser nos finances publiques et sortir notre pays du marasme économique et social dans lequel il est englué.

Le Ministère des Finances et du Budget, dans les mois à venir,  s’attellera en matière de recettes à:

Poursuivre les réformes économiques découlant du Programme avec le FMI et les autres partenaires (Banque mondiale, l'Union Européenne, La BAD et I'AFD) ainsi que celles édictées dans le cadre du Programme de Réformes économiques et Financières de la CEMAC (PREF-CEMAC) ;

Poursuivre les réformes fiscales à travers l'élargissement de l'assiette ;

Poursuivre la bancarisation et la sécurisation du recouvrement des recettes ;

 

 

 

  

 

 

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A propos du Ministère

Le Ministère des Finances et du Budget de la République du Tchad

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