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Actus

Actus (404)

Ø Mesdames, Messieurs les Présidents des Grande Institutions de la République ;

Ø Mesdames, Messieurs les Membres du Gouvernement ;

Ø Mesdames, Messieurs les Ambassadeurs ;

Ø Messieurs les Représentants des organisations internationales et régionales ;

Ø Mesdames, Messieurs les Partenaires Techniques et Financiers;

Ø Mesdames, Messieurs les Députés ;

Ø Mesdames, Messieurs, les opérateurs économiques, 

Ø Mesdames, Messieurs les directeurs généraux et directeurs de services ;

Ø Mesdames, Messieurs les représentants des milieux universitaires ;

Ø Mesdames, Messieurs les représentants de la société civile ;

Ø Mesdames, Messieurs les responsables des organes de Presse ;

Ø Distingués invités ;

Ø Mesdames, Messieurs.

 

D’emblée, je voudrais saluer la présence de chacune et chacun de vous à cette importante Conférence sur les perspectives économiques régionales de l’Afrique sub-saharienne. L’engagement personnel de Son Excellence Monsieur IDRISS DEBY ITNO, Président de la République, Chef de l’État et Chef du Gouvernement et celui du peuple tchadien, à la résolution des crises en Afrique nous commande, nous décideurs et techniciens tchadiens, d’avoir une bonne connaissance des défis et opportunités auxquels font face les pays d’Afrique sub-saharienne.  La participation active de tous les Africains à la recherche de solutions idoines aux défis de développement de notre cher continent est un idéal que les Pères-Fondateurs de l’Union Africaine ont appelé de tous leurs vœux. Idéal pour lequel les Chefs d’États  œuvrent toujours sans relâche.

C’est donc fort opportunément que le Fonds Monétaire International nous donne l’occasion, à travers ses publications périodiques consacrées à l’Afrique subsaharienne sur les sujets spécifiques, d’enrichir nos connaissances et nous fournir des pistes d’action en vue de susciter, en nous, une meilleure contribution au développement de notre continent.

 

L’édition d’avril 2019 nous présente, en premier lieu : les perspectives macroéconomiques sur fond d’incertitude des variables de nos économies. Puis, il sera question des conséquences économiques des conflits. La zone de libre échange continentale, lancée très récemment par l’Union Africaine, fera l’objet de la dernière déclinaison de notre thème d’aujourd’hui.

 

Excellences, Mesdames et Messieurs

 

Tout en laissant le soin au Représentant résident du FMI de présenter en profondeur ces sujets, les enseignements tirés de la présente édition nous interpellent à plus d’un titre.

Il en ressort que quand certains pays dépourvus de ressources naturelles devraient bénéficier d’une croissance d’au moins 5% ainsi que d’une hausse de revenu par habitant plus rapide que la moyenne mondiale à moins terme, d’autres pays riches en ressources naturelles, comme le nôtre, accuseraient une croissance plus faible.

 

Ce paradoxe s’explique par, entre autre, la baisse de la demande mondiale de matières premières consécutive à la contraction des économies chinoise et de la zone euro, le dérèglement climatique et son impact sur le secteur agropastoral de l’Afrique sub-saharienne, le poids de la dette publique, la fragilité du système de financement de l’économie, l’insuffisance des infrastructures de base.

 

A cette liste, il faut ajouter les défis sécuritaires permanents pour ce qui est du tableau du Tchad  impacté par les conflits dans les pays limitrophes.

C’est face à ces défis exacerbés par la crise économique et financière induite par le triple choc de la baisse drastique des cours du pétrole, des préoccupations sécuritaires et de la question humanitaire des réfugiés et déplacés que le Gouvernement du Tchad a fait appel au FMI dès mi-2014 pour la mise en place d’un programme triennal soutenu par la Facilité élargie de crédit (FEC) renforcé. En 2017, un nouveau programme avec prise en compte de la dimension sous-régionale des défis a été mis en œuvre.

 

Ce nouveau programme, qui a reçu l’appui multiforme d’autres partenaires techniques et financiers, repose sur la stratégie de stabilisation et de sortie de crise mise en place par le Gouvernement. Il nous a permis d’amorcer une relance de la croissance en 2018, après trois (3) années consécutives de récession.

A l’effet de protéger, de tout risque systémique, nos économies encore vulnérables, le programme soutenu par la Facilité élargie de crédit (FEC) concernera, à juste raison, l’ensemble des 6 pays de la zone CEMAC. Nous y croyons car forts de l’appui constant et du plaidoyer de haut niveau, du Président de la République, IDRISS DEBY ITNO, auprès de ses pairs.   

 

Mesdames, Messieurs,

Distingués invités,

Il m’importe de rappeler qu’avec notre ferme volonté de mettre en œuvre l’ambitieux mais réaliste programme des reformes, soutenu par nos partenaires techniques et financiers,  les actions en cours que sont le règlement, dans les tous prochains jours, de 30 milliards du stocks des arriérés enregistrés au Trésor, l’apport de liquidité dans les banques à travers l’amélioration du taux de remboursement des obligations et bons publics ainsi que la mise en place de la commission nationale de recouvrement des créances des banques, devraient renforcer davantage le retour à la croissance à court et moyen termes.

 

La finalisation de l’audit de la dette intérieure assortie d’une stratégie d’apurement et sa mise en œuvre ainsi que l’audit et la restructuration des banques en difficulté devraient ramener la sérénité pour une croissance plus forte et soutenue à long terme.

 

Il est à souligner que nous ne perdons pas de vue l’indispensable mobilisation des ressources, la modernisation de nos services et l’amélioration de la qualité de la dépense publique.

 

Malgré ces perspectives favorables, des faiblesses structurelles qui limitent la résilience  de notre économie subsistent. IL s’agit entre autres de sa faible diversification, des conditions prohibitives d’accès aux financements, de l’irrégulière disponibilité et du cout de l’énergie, des préoccupations quant au climat des affaires ;  pour ne citer que ceux-là.

 

C’est ici le lieu d’exprimer les sincères remerciements du Gouvernement de la République et celles du Ministère des finances et du budget, en particulier, aux partenaires techniques et financiers pour leur soutien continu et multiforme.

 

Excellences, Mesdames et Messieurs,

 

Pour ce qui est de la déclinaison thématique portant sur les conséquences économiques des conflits, plus que tout autre pays, le Tchad connait le désastre des conflits armés pour l’avoir subi et vécu dans sa chair.

 

Pour l’heure, nous vivons de plein fouet l’insécurité sous régionale, contenue hors de nos frontières par nos vaillantes forces de défense et de sécurité.

 

Notre présence au Mali, au Niger et au Nigeria, l’accueil de centaines de milliers de réfugiés à l’est, à l’ouest et au sud de notre pays et les incursions sporadiques des groupuscules intégristes armés nous font payer un prix particulièrement élevé pour assurer notre paix, notre quiétude, notre sécurité intérieure.

 

Outre leurs impacts sur notre potentiel de mobilisation de recettes fiscales et douanières, les situations à nos frontières et dans la bande saharo-sahélienne nous contraignent à consacrer près de 30% de nos ressources budgétaires aux dépenses de sécurité privant ainsi les secteurs productifs et sociaux de ces indispensables transferts budgétaires.

L’accumulation d’arriérés intérieurs résulte également de ce choix obligé imposé par la géographie et les circonstances particulières de la sous-région.

 

Nous sommes convaincus que les circonstances particulières de la sous-région sont bien perçues par nos partenaires. Cependant nous ne croyons pas qu’elles soient comprises à la pleine mesure des efforts consentis par notre pays et du fardeau qu’elles représentent pour nos populations.

 

Les finances publiques du Tchad ne doivent pas être auscultées suivant les critères standards communément appliqués aux pays sans contraintes particulières.

J’invite nos partenaires à nous réserver une approche circonstanciée tenant compte de tous les chocs que nous subissons : le choc des cours du pétrole dont les effets ne sont pas encore estompés, les chocs climatique, sécuritaire et humanitaire.

 

Pour notre part, nous pouvons les assurer que, sous la conduite vigilante, avisée de Son Excellence IDRISS DEBY ITNO, Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement, nous ne relâcherons pas nos efforts pour préserver notre sécurité intérieure, chèrement acquise et condition sine qua none pour tout essor économique et social.

 

Il est évident que sans la sécurité et la stabilité, Il ne peut y avoir ni croissance ni développement, encore moins programme.

 

Avant de finir mon propos, je voudrais me réjouir de l’écho, fait par l’Union Africaine, de la création de la zone continentale de libre-échange. Il est plus que jamais temps pour que cette initiative aboutisse rapidement à la consolidation d’un marché africain dynamique et fort en vue d’un développement durable et inclusif de notre continent. Les défis et obstacles ainsi que les opportunités exposées dans cette revue devraient nous encourager à davantage à l’actions.

 

Je ne doute pas un seul instant que les échanges que nous aurons lors de cette conférence contribueront incontestablement à une très bonne compréhensions des enjeux et problématiques de nos économies, dans un monde en perpétuelles mutations.

Je vous remercie pour votre bien aimable attention.

 

 

Dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet amélioration de la qualité de dépenses publiques d’éducation au Tchad, par un contrôle citoyen de l’effectivité du personnel enseignant, le Ministère des Finances et du Budget et celui de l’Éducation Nationale et de la Promotion Civique ont conjointement dépêché des missions de sensibilisation et de formation des comités de contrôle citoyen. Deux équipes de missions ont séjourné du 06 au 20 Mai 2019, respectivement dans les provinces du Lac et du Logone Oriental. 

La mission fait suite au lancement officiel et conjoint de la plateforme mobile de contrôle citoyen, courant Avril 2019 à N’Djaména par les deux ministres M. ALLALI MAHAMAT ABAKARet M. ABOUBAKAR ASSIDICK TCHOROMA, maîtres d’œuvre dudit projet et la Représentante du bureau de l’Unicef au Tchad Mme Dr VIVIANE VAN STEIRTEGHEM. Lors du lancement et dans le document projet il a été convenu d’accélérer la mise en place des comités de contrôle citoyen (CCC) qui devront se charger de veiller par un signalement, à la présence effective des enseignants à leur lieu d’affection. 

 

La mise en œuvre de ce projet consiste à impliquer les citoyens bénéficiaires du service d’éducation, à contrôler la présence des enseignants à leur lieu d’affection, par l’utilisation d’une plateforme mobile au numéro *707# de TIGO. 

La mission a consisté à expliquer aux citoyens et aux membres des CCC la nécessité de l’utilisation de la plateforme mobile notamment pour connaître d’abord les enseignants fonctionnaires affectés dans leur localité et ensuite pour signaler leurs présences ou absences le cas échéant. 

Au tour des ateliers, organisés dans les principaux chefs-lieux de départements des 2 provinces et placés sous l’autorité administrative des préfets, les équipes de missions se sont relayées pour expliquer le fonctionnement de la plateforme mobile, présenter les acteurs de mise en œuvre dudit projet, expliquer le budget citoyen 2019, constituer et installer les comités de contrôle citoyens.

Lors de leur passage dans lesdites provinces pilotes, les équipes de mission ont également fait usage de divers outils de communication (spot audio, brochure, manuel de formation sur le contrôle citoyen de l’action publique (CCAP), dépliants portant sur le contrôle citoyen et sur le budget citoyen 2019) pour davantage édifier les participants. 

Les différentes présentations faites ont suscité l’immense intérêt des participants qui se sont massivement engagé à s’impliquer désormais dans la gestion de la chose publique à travers ce projet. 

Les participants ont également salué le choix du secteur de l’éducation mais aussi celui de leurs provinces dans la phase pilote du projet. Les équipes de mission ont prodigué des conseils, sollicité la forte implication des comités de contrôle citoyen mais aussi leurs rôles dans la sensibilisation de tous les citoyens sur l’utilisation de la plateforme mobile de contrôle de l’effectivité du personnel enseignant pour une éducation de qualité dans leur localité respective.

Les équipes de mission ont, en marge des activités de formation, profité pour sensibiliser les participants sur le budget citoyen 2019. Pour l’essentiel, la vulgarisation du budget citoyen a consisté à informer les citoyens dans un langage simple et accessible, le processus d’élaboration du budget et sa présentation en grandes masses notamment en recettes et dépenses. 

S’il faut le rappeler, le numéro *707# dédié au contrôle citoyen pour l’effectivité des enseignants peut être consulté ou utilisé par tout le monde. Un fois ledit numéro validé, des listes déroulantes apparaissent et le détenteur de tout type de téléphone avec carte Sim Tigo peut faire usage dudit numéro, pour connaitre les enseignants affectés dans l’une des deux provinces. Tout citoyen, en utilisant ce numéro peut valider le processus en confirmant la présence ou en signalant une absence. 

L’observatoire tchadien des finances publiques (OTFIP) réitère ses remerciements à l’Unicef pour son soutien financier, logistiques et techniques et les autorités de différentes provinces pour leur participation effective à l’installation des comités.

 

 

 

 

 

 

 

Le Ministre des Finances et du Budget Monsieur ALLALI MAHAMAT ABAKAR a pris part à la signature de deuxaccords de subvention au côté de son collègue en charge de la Santé Publique, Monsieur AZIZ MAHAMAT SALEH avec le Fonds Mondial, le mercredi 08 Mai 2019à l’hôtel la Résidence de Ndjamena.

La cérémonie de signature s’est déroulée sous la présidence du Ministre d’Etat Secrétaire Général de la Présidence Monsieur PAYIMI KALZEUBE DEUBETLa convention est d’un montant global de 40,5 millions d’euros soit 26,568 milliards de FCFA octroyés par le Fonds Mondial à l’Etat tchadien dont le Ministère de la Santé est le principal récipiendaire, destiné à la lutte contre leVIH/SIDA, la Tuberculose et le Paludisme. Cet accord de subvention permet d’accroitre le nombre de personnes séropositives bénéficiaire des anti rétro viraux, les cas de tuberculose et le paludisme.

Le Ministre de la Santé Publique, AZIZ MAHAMAT SALEH,au nom de toute la population tchadienne bénéficiaire de cette aide et surtout pour le choix porté sur le Ministère de la Santé Publique pour la première fois comme principal récipiendaire pour la gestion des dites subventions, c’est une importante confiance au Gouvernement.

Il a salué l’engagement personnel du Président de la République, Chef de l’État qui n’a jamais cessé de leur donner des orientations clairvoyantes pour améliorer la santé des populations.

La Directrice régionale Afrique central du Fonds Mondial souligne que la signature de ces deux nouvelles conventions entre le Fonds Mondial et le Gouvernement tchadien pour le VIH/SIDA, Tuberculose, et le renforcement du système de santé est une nouvelle étape de partenariat pour la promotion de services de santé et soins de qualité pour les tchadiennes et tchadiens y compris les plus vulnérables aux VIH/SIDA et à la tuberculose.

Mme Radhia Oudjani conseillère de coopération et d’action culturelle, relève que la France est Membre fondateur du Fonds Mondial, donc la France entend en rester le deu- xième contributeur historique, raison pour laquelle le Prési- dent Emmanuel Macron a tenu à accueillir la 6ème confé-rence de reconstitution des financements du Fonds mondial à Lyon, marquant ainsi cet engagement français. La France y encouragera l’ensemble des acteurs, partenaires, récipiendaires et bailleurs, à contribuer à la reconstitution du FM à hauteur plancher de 14 milliards de dollars.

Dans le cadre de la mobilisation des ressources dormantes de l’Etat, le Ministère des Finances et du Budget a organisé une réunion avec les banquiers et les opérateurs économiques le 07 mai 2019 sous la présidence de Monsieur ALLALI MAHAMAT ABAKAR, Ministre des Finances et duBudget, et du Secrétaire d’Etat aux Finances et au Budget AHMED ALKHOUDAR ALI FADELEtaient présents à cette rencontre le Directeur Général du Ministère et le Directeur National de l’Agence national d’ Investigation Financière (ANIF).

L’objectif de cette réunion est de comprendre la non utilisation des services bancaires par les opérateurs économiques causant ainsi la thésaurisation. Et pourtant, le gouvernement a multiplié et diversifié les actions dans la perspective d’accroitre sa capacité à mobiliser les ressources nécessaires à la relance économique du pays. Cette réunion s’est aussi intéressé aux mécanismes et ingénieries nécessaires à l’inclusion financière, et précisément à la mobilisation des ressources thésaurisées ou hors systèmes bancaires.

Après avoir présenté les objectifs de la réunion, le Ministre des Finances et du Budget Monsieur ALLALI MAHAMAT ABAKAR, a laissé la parole aux banquiers de poser lesdifficultés qu’ils rencontrent dans la bancarisation. Après les échanges il ressort que certaines Institutions ne facilitent pas le bon fonctionnement du système bancaire. Lors de cette rencontre le Ministre a annoncé qu’il sera lancé les paiements d’une partie de la dette intérieure enregistrée au trésor.

Pour mémoire, l’Agence Nationale d’Investigation Financière, en abrégé ANIF, créée en 2007 par un décret, en application du Règlement N°02/10 du 02 octobre 2010/ CEMAC/UMAC/CM, est une Cellule de               Renseignement Financier (CRF), ayant un caractère de service public spécial, chargée de lutter contre le blanchiment des capitaux, le financement du terrorisme ou de la prolifération des armes destruction massive. Sa tutelle administrative est assurée par le Ministre des Finances et du Budget.

Le Ministre des Finances et du Budget Monsieur ALLALI MAHAMAT ABAKAR a eu une rencontre à son Cabinetavec l’ancien président de la BAD, Haut représentant pour le financement de l'Union Africaine et du Fonds pour la paix, M. Donald Kaberuka, le lundi 29 Avril 2019.

La réunion s’inscrit dans le cadre des consultations régionales sur la question de l'évaluation du Fonds pour la paix, comme demandé dans la décision Assembly / AU / Dec.734(XXXII) de février 2019.

En outre, les questions liées à la mise en œuvre des décisions sur le financement de l'Union, y compris le prélèvement de 0,2%, a été également évoquée.
Dr. Kaberuka est accompagné a cette occasion de: M. Charles Mironko 
Consultant principal en coordination et liaison auprès de la Commission de l'Union africaine (CUA) pour l’appui à la mise en œuvre du programme du Fonds pour la paix, M. Enock Ombagi Okara Administrateur principal chargé des politiques en matière de financement de l'Union.

Le Ministre se réjouit de cette rencontre riche qui leur a permis de faire le point sur la prochaine consultation régionale.

Une mission conduite par Monsieur Oumar Hassan Cherif a séjourné dans la Province du Logone Occiden- tal du 26 avril au 05 Mai 2019 à Moundou. L’objectif de cette mission est d’installer Monsieur BOUREÏ MAHAMAT ADOUM, nouveau délégué provincial des Finances et à l’Economie nommé par arrêté n°071/PR/SE/DGM/ DGTCP/TPG/2019 en remplacement de Monsieur MADJIADOUM KETTE CALEB.

A l’arrivée de la mission à Moundou l’équipe s’est rendue chez le Préfet, représentant le Gouverneur de la Province du Logone Occidental pour présenter ses civilités ainsi que l’objectif de la mission. Le Préfet représentant le Gouverneur a souhaité la bienvenue à l’équipe de la Mission au nom du Gouverneur de la Province et en son nom propre. Le Chef de la mission a remercié le Préfet pour son accueil.

Après avoir présentées ses civilités aux autorités locales, l’équipe de la mission s’est rendue à la délégation Provinciale des Finances et à l’Économie pour la cérémonie d’installation du nouveau délégué.

Dans son mot de circonstance le délégué sortant Monsieur MADJIADOUM KETTE CALEB remercie pour sa part, les plus hautes autorités pour la confiance placée en sa modeste personne en confiant les reines de la délégation. Il ajoute que sa nomination à la tête de la Délégation provinciale des Finances et à l’Economie du Logone Occidental est enrichissante car il a bénéficié d’une bonne collaboration des autorités locales ainsi que tout le personnel de la délégation.

Monsieur MADJIADOUM KETTE CALEB, félicite son remplaçant et lui souhaite beaucoup de succès dans sa nouvelle fonction puis demande à l’ensemble du personnel de garder le même de travail avec le nouveau Délégué.

Quant au chef de mission Monsieur OUMAR HASSAN CHERIF, en installant officiellement le nouveau Délégué Provincial des Finances et à l’Economie Monsieur BOUREÏ MAHAMAT ADOUM dans ses nouvelles fonctions, il demande au personnel de travailler avec plus d’enthousiasme, dans la discipline et au respecter des textes de base régissant les Finances Publiques pour le bon fonctionnement des activités de l’Etat dans cette Province.

Le Directeur Général du Ministère Monsieur MAHAMAT SENOUSSI ZAKARIA a eu une séance de travail avec les membres de la mission de l’Agence Française pour le Développement le jeudi 02 Mai 2019 dans son bureau. C’est une mission pour la réurbanisation des systèmes d’information du Ministère des Finances et du Budget. La délégation est composé de: madame Jacqueline MUSABENDE , messieurs Pascal TREHET, Brice PONGA et Axel CAMBRILLAT, consultants au bureau d’études LINPICO, accompagné de Monsieur Clément COULEAUD, économiste à l’Agence Française de Développement.

En effet, ce projet de réurbanisation des systèmes d’infor- mation s’inscrit dans le cadre des reformes du ministère des Finances avec l’appui des Partenaires Technique et Financier pour la modernisation du système d’information des finances publiques.

A propos du Ministère

Le Ministère des Finances et du Budget de la République du Tchad

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