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Actus (406)

Le Ministère des Finances et du Budget a organisé une formation des agents des banques sur la convention de domiciliation du paiement des recettes des Douanes, des Impôts, des Domaines et des recettes administratives le 27 février 2018 au CEFOD.

 C’est le Directeur  Général du Ministère des Finances et du Budget Monsieur ABDOULAYE  BARH BACHAR  qui a ouvert les travaux.

Dans son mot  de circonstance, le Directeur Général du Ministère a rappelé que depuis 2012, dans le souci de sécuriser les recettes douanières, le Ministère des Finances et du Budget avait décidé de les bancariser. Cette action qui consiste à éviter la déperdition voire la dilapidation des recettes de l’Etat a porté du fruit malgré les difficultés d’ordre comptable à régler pour harmoniser les écritures entre les Régies et la Direction Générale du Trésor et de la comptabilité Publique.

Pour le Directeur Général, la politique de la modernisation des finances publiques tant prônée par les hautes autorités de la République, nécessite des innovations allant dans le sens de garantir et de booster les recettes

de l’Etat en vue de faire face aux besoins croissants de la satisfaction de l’intérêt général. Ces exigences rentrent aussi dans le cadre des relations entre notre pays et les partenaires techniques et financiers.

L’élargissement de la bancarisation des  recettes des Impôts des Domaines et des Recettes Administratives contribuera sans nul doute à rehausser le niveau  de recouvrement des recettes puisque les encaissements seront bien canalisés et sécurisés par les banques. Ces dernières sont dans l’obligation de niveler suivant les délais retenus dans les conventions signées entre le Ministère des Finances et les Banques et peuvent s’organiser en réseau et sont tenus de tenir une comptabilité pour bien retracer les opérations d’écriture et de collecter les pièces justificatives y afférente. La signature de ces conventions ouvre une nouvelle aire dans la sécurisation des recettes de l’Etat. 

Le Directeur Général du Ministère des Finances et du Budget  Monsieur  ABDOULAYE  BARH BACHAR exhorte les participants  à bien vouloir suivre avec beaucoup d’attention ces opérations afin d’éviter des surprises désagréables qui peuvent être causées par des personnes indélicates ou  véreuses. Cette action va permettre indéniablement à l’amélioration du recouvrement des recettes de l’Etat a-t-il conclut.

Dans son mot de clôture, le Directeur Général Adjoint du Ministère des Finances Monsieur DJIMASBAYE NANG-WOGNA a souligné qu’à la fin de cette formation, les participants seront ainsi capables de vérifier les titres de perception émanant des services liquidateurs et de bien remplir les bordereaux de versement que vous aurez à délivrer  aux contribuables. La recherche de la performance, de la maitrise et de la mobilisation des recettes exige du Ministère des Finances et du Budget la mise en place d’un dispositif de recouvrement des recettes plus rapide, plus fiable, plus transparente et conforme aux exigences Sous- Régionales et Internationales.

Pour  les participants, cette formation arrive à point nommé, car elle leur permet de bien vérifier les titres de perceptions émanant des services liquidateurs et de bien remplir les bordereaux de versements qu’ils auront à délivrer aux contribuables.     

 

 

Par un communiqué officiel que le ministre des finances et du budget Dr ABDOULAYE SABRE FADOUL a annoncé le mercredi 21 février 2018, qu’après des rudes et longues discussions, l’équipe de négociation du Tchad est parvenue à un accord avec la société Glencore, pour la restructuration de sa dette commerciale.

Cet accord d’une maturité maximum de 12 ans, d’un taux d’intérêt de LIBOR plus 3 % et d’un différé de deux ans en principal et en  intérêt, répond pleinement aux paramètres du programme avec le Fonds Monétaire International et ouvre la voie à la conclusion de la 1ère revue du programme appuyé par la Facilité Elargie de Crédit (FEC) conclu le 30 juin 2017.

Le Ministre des Finances et du Budget Dr ABDOULAYE-SABRE FADOUL souligne que cet accord sauve définitivement l’équilibre et les hypothèses sur lesquels repose la loi des finances initiale 2018.

En se réjouissant de l’aboutissement de cet accord,

Dr ABDOULAYE-SABRE FADOUL signale que ces conditions sont en parfaite conformité avec les paramètres  du programme conclu avec le FMI, dont le décaissement au titre de la FEC est attendu.

Le Chef du Département des finances a dans son communiqué exprimé, au nom de l’équipe de négociation, toute sa reconnaissance aux hautes autorités de la République pour leurs interventions décisives dans le pilotage de ce processus.

Le Ministre décerne une mention spéciale de félicitation à l’équipe technique tchadienne de négociations pour son engagement et effort sans faille durant ces 10  derniers mois de négociations.

Le Ministre des Finances et du Budget Dr ABDOULAYE SABRE FADOUL a présidé les travaux de la Journée  d’information et d’échanges sur la stratégie globale de maitrise de la masse salariale et de préservation des droits des agents publics, le mardi 27 Février 2018 à l’Hôtel Radisson Blu.

Pour faire face à la situation économique grave que vit le Tchad, le gouvernement a mis en œuvre un certain nombre de voies et moyens pour juguler cette crise. Ainsi cette journée d’échange qui a réuni tous les acteurs sociaux s’inscrit dans cette logique de mettre un terme à la crise.

Plusieurs thématiques ont fait l’objet d’échanges entre les participants et les intervenants, il s’agit de :

· recensement biométrique des agents de l’Etat et installation des terminaux ;

· recensement physique des agents civils de l’Etat ;

· assainissement du fichier de la Solde ;

· économie attendue des réformes institutionnelles ;

· refonte et harmonisation du régime de rémunérations  des agents de l’Etat (régime indemnitaire, de primes et de grilles salariales).

L’objectif principal est de mettre en place un système fiable, sécurisé, permanent, automatisé de contrôle biométrique de la présence effective du personnel de l’État dans leur lieu de travail aux fins d’assurer une meilleure efficacité des dépenses de salaire.

Dans le même sens,  le recensement physique des agents civils de l’Etat permettra de disposer d’un fichier unique, complet et cohérent du personnel civil de l’Etat reflétant la situation administrative et salariale. Ce qui permettrait au Gouvernement d’assurer la maîtrise parfaite de l’effectif et de la masse salariale.

C’est ainsi que, la Direction de la Solde s’est attelée à mettre en place en urgence, une stratégie dont l’objectif est d’assainir le fichier avec pour corollaire, la maitrise de  l’effectif des agents de l’Etat ainsi que la masse salariale.

Sagissant de l’économie attendue des réformes institutionnelles, les mesures suivantes seront mises en œuvre avec des effets bénéfiques sur le budget :

· création de la Cour de Répression des Infractions Economiques et Financières (CRIEF);

· fixation d’un cadre pérenne pour la Structure Générale du Gouvernement et attributions de ses membres;

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Ministère des Finances et du Budget porte à l'attention de l'opinion nationale et internationale que l'Équipe de négociation du Tchad est parvenue, après d'âpres et longues discussions, à un accord avec la Société GLENCORE, en vue de la restructuration de sa dette commerciale avec GLENCORE. Un protocole d'accord a été signé à cet effet ce mercredi 21 février 2018 à Paris, en France, entre les deux équipes de négociations. 

Il est opportun de rappeler que l'aboutissement de ces négociations difficiles est à mettre incontestablement au crédit des efforts diplomatiques du Président de la République qui a usé de toute son influence auprès d'institutions et des pays amis pour faire accepter les termes de cet accord de rééchelonnement de la dette GLENCORE qui devenait insupportable pour nos finances déjà affectées par une grave crise économique. 

Aussi, le Ministère en charge des Finances exprime, au nom de l'Équipe de négociation, toute sa reconnaissance au Président de la République pour ses interventions décisives dans le pilotage de ce processus. 

Le Ministère des Finances adresse également ses remerciements au Premier Ministre, Chef du Gouvernement pour sa constance et sa perspicacité dans la mise en œuvre des pertinentes orientations du Chef de l'Etat. 

Le Ministère des Finances félicite l'équipe technique Tchadienne et ses Conseils pour leur abnégation, et remercie par la même occasion les partenaires, en particulier le FMI et la France, pour leur soutien précieux dans la conduite des discussions. 

En effet, cet accord de restructuration globale permet de garantir la soutenabilité de notre dette extérieure et d'assurer le financement de notre Programme triennal avec le FMI. En outre, ledit accord sauve définitivement l'équilibre et les hypothèses sur lesquels repose la Loi des finances de l'exercice 2018. 

Concrètement, cet accord offre au Tchad deux ans de grâce dans le remboursement de la dette; il allonge la maturité du prêt jusqu'à 12 ans; il révise à la baisse le taux d'intérêt et donc la valeur actuelle nette de ladite dette ; enfin, il sanctuarise l'approvisionnement en brut de la Raffinerie de N'Djamena. 

Il est à signaler par ailleurs que les conditions de cet accord sont en parfaite conformité avec les paramètres du Programme conclu avec le FMI dont le décaissement au titre de la Facilité Élargie de Crédit est attendu. 

Toutefois, il conviendrait de préciser que si cet accord est incontestablement une bonne nouvelle dont il faut se réjouir, il est à noter néanmoins que  les recettes attendues avec cette restructuration sont déjà prises en compte dans la loi des finances 2018

Par conséquent. le Ministère des Finances poursuivra l'exécution du budget 2018 sur les bases fixées par la Représentation Nationale le 28 décembre 2017. 

Le premier séminaire annuel de travail, d’orientation et de coordination des services du Ministère des Finances et du Budget s’est tenu du 9 au 10 février 2018. Ce séminaire, le premier du genre, est une importante innovation dans le contexte économique et financier actuel où une meilleure gestion des finances publiques est un enjeu crucial. Pendant deux jours, toutes les thématiques ont été abordées.

 

Il s’agit de l’évolution des finances publiques depuis l’exploitation du pétrole, de la coopération avec nos Partenaires Techniques et Financiers, des stratégies de mobilisation et de la sécurisation des recettes, de l’amélioration de la gestion et des dépenses, des contrôles qui incombent à l’Inspection Générale des Finances, de la modernisation de la gestion des finances publiques par l’informatisation, et des dysfonctionnements administratifs qui entravent la bonne marche des activités de notre département.

Les différents responsables du Ministère, Directeur Général du Ministère, Inspecteur Général, Contrôleur Financier, Directeurs Généraux, Directeurs, ont tour à tour présenté, chacun en ce qui le concerne, l’état des lieux des réformes entreprises ainsi que les principales innovations envisagées pour l’année 2018.

A l’issue des deux journées marquées par la présentation des problématiques diverses et des discussions fructueuses, le Ministre des Finances et du Budget Dr ABDOULAYE-SABRE FADOUL a rédigé une Lettre d’orientation à l’endroit de ses collaborateurs, des hauts responsables à l’ensemble des agents.

 Cette lettre a pour objet de donner les grandes lignes directrices qui doivent guider le fonctionnement du Ministère et la gestion des finances publiques au courant de l’année 2018.

Elle tient compte des discussions et des recommandations des participants ainsi que du plan d’action du Ministère. Quatre principaux objectifs stratégiques et opérationnels en ressortent. Il s’agit de l’amélioration du fonctionnement du Ministère, de la mise en œuvre des stratégies de mobilisation et de la sécurisation des recettes, de l’amélioration de la gestion des dépenses et de l’inspection, et enfin de l’informatisation du ministère.

S’agissant de l’organisation et du fonctionnement du ministère, le ministre a insisté sur le respect des horaires de travail, le respect de la hiérarchie, l’amélioration du fonctionnement des services déconcentrés, le renforcement de la formation des cadres ainsi que la dissémination des textes et lois relatifs aux finances publiques.

En ce qui concerne la mobilisation et la sécurisation des recettes, l’accent est mis sur l’élargissement de l’assiette de l’Impôt Général Libératoire (IGL), la bancarisation des recettes, le suivi et le contrôle des exonérations fiscales et douanières, le recensement de la matière foncière et domaniale imposable dans la ville de N’Djamena et les autres grandes villes.

En troisième lieu, le Ministre a tenu à adresser l’épineux problème des Dépenses Avant Ordonnancement (DAO) dès 2018, à introduire pour la toute première fois la tenue du Débat d’Orientation Budgétaire (DOB). En outre, toujours dans le sens d’améliorer la gestion des dépenses, il a insisté sur l’opérationnalisation des achats groupés, sur la mise en place des plans d’engagement et de trésorerie et sur le renforcement du contrôle par l’Inspection Générale.

Enfin, l’informatisation du ministère a constitué le dernier point de sa lettre. En tant qu’un outil transversal, l’informatique devrait améliorer la gestion des finances. En 2018, le déploiement de SIGTAS, la migration de SYDONIA et la révision du CID constituent les principales priorités en matière d’informatisation. En outre, la maintenance et la formation des acteurs est un point important.

L’analyse de la lettre d’orientation du Ministre montre effectivement que les actions du Ministère doivent former un tout cohérent car elles sont interdépendantes. Par exemple, sans informatisation, il serait difficile de sécuriser les recettes et les dépenses ; sans la présence des cadres à leur lieu de travail, il y aurait un ralentissement de l’ensemble des activités ; et sans contrôle adéquat, de nombreuses dépenses publiques pourraient être vaines.

C’est la raison pour laquelle le Ministre nous invite à la collaboration, à travailler tous ensemble pour le bien commun.

 

 

 

 

 

 

 

Les travaux de cadrage macroéconomique et budgétaire ont débuté le lundi 12 février 2018 dans la salle de réunion de la Direction des Etudes et de la Prévision (DEP). Faut-il le rappeler, ces travaux marquent le début de la préparation du budget de l’année 2019 et constituent la deuxième étape dans le calendrier budgétaire. Ils sont précédés de la phase de collecte des données.

Les travaux dureront un mois et demi et seront sanctionnés à la fin par la rédaction de deux documents à savoir le Rapport Technique de Cadrage Macroéconomique et  Budgétaire et une note synthétique de cadrage macroéconomique, qui serviront de fondement d’une part pour la lettre circulaire du Premier Ministre fixant les plafonds des enveloppes budgétaires par département ministériel/institution et d’autre part pour la tenue du Débat d’Orientation Budgétaire (DOB). De façon concrète, ces travaux de cadrage consistent à formuler des hypothèses de prévision macroéconomique et à l’élaboration du Cadre Budgétaire à Moyen Terme (CBMT).

Il s’agit d’actualiser les données de prévision de l’année 2017 par les réalisations au 31 décembre 2017. Ces données concernent entre autres l’exécution budgétaire, la situation monétaire, le commerce extérieur, les prix internationaux (pétrole, coton, taux de change, etc.) et les secteurs de production (agriculture, extraction pétrolière, industrie, télécommunications, autres services, etc.). Les hypothèses de prévision se font sur la base des analyses conjoncturelles et des perspectives d’évolution des différents secteurs.

 

 

Du 18 au 29 janvier 2018, 27 cadres provenant de la Direction Générale du Budget, de la Direction Générale des Etudes et Plan, de la Direction Générale de l’Economie et de l’Institut National de la Statistique, des Etudes Economiques et Démographiques, ont participé à un atelier de travail au centre de formation de Mara. Cet atelier, financé par l’Unicef, intervient dans le cadre de l’étude de l’impact de la baisse des prix du pétrole sur le bien-être de l’enfant au Tchad ».Cette étude se justifie par la nécessité de disposer des évidences empiriques sur l’impact de la baisse des prix du pétrole sur les dépenses sociales. Cela permettrait de déboucher sur des recommandations en vue de préserver les dépenses budgétaires de l’Etat destinées aux secteurs sociaux notamment à l’éducation et à la santé. En outre, le second objectif de cet atelier était de renforcer les capacités des cadres nationaux afin qu’ils puissent s’approprier des outils d’analyse d’impact notamment les Modèles d’Equilibre Général Calculable (MEGC). Les travaux devront se poursuivre au cours du mois de mars par la tenue d’un deuxième atelier.

 

 

 

Dans le cadre de l’opération « zéro déperdition » un citoyen a alerté le centre d’appel au numéro 700 pour dénoncer la falsification d’un document de l’impôt général libératoire (IGL) à l’Hôtel No2 des impôts au quartier Hillé-Leclerc dans le  quatrième arrondissement. Une équipe de l’Inspection Générale des Finances du MFB à sa tête l’inspecteur CHERIF MAHAMAT

 

MOUSTAPHA, le Coordonnateur de la Force d’Appui aux Régies, le Lieutenant-Colonel OUSMANE ADAM DICKI et l’Inspecteur DAYANG MENWA ENOCK ont fait une décente au sein de l’Hôtel des impôts N°2.

 

 

Pour l’inspecteur CHERIF MAHAMAT MOUSTAPHA, sur deux quittance l’agent des impôts au lieu de verser une somme de 265 860 FCFA de l’IGL au trésor public, il n’a fait que verser  65 860 FCFA. Pour le second quittance sur les 175 000FCFA de l’IGL,  75 000FCFA seulement ont été versé pour le compte du trésor public et dans ces deux opérations l’Etat a perdu plus de 300 000FCFA.

 

Face à cette situation, l’enquête suit son cours. A cet effet, l’inspection générale des finances du MFB met en garde tous les agents de l’Etat qui vivent dans le faux et font usage de faux documents, car l’opération lancé depuis le 04 Janvier 2018 appuyée par la force d’appui aux régies traquera tous les agents indélicats.

 

Dans le cadre de la sécurisation des recettes et de l’opération  « ZERO DEPERDITION », le ministère en charge des finances a signé une convention de bancarisation et de sécurisation des recettes de l’Etat avec les banques de la place le 13 Février 2018 dans la salle de réunion.

 

Cette cérémonie de signature de convention entre les différentes banques de la place a été présidée par le Ministre des Finances et du Budget, Dr ABDOULAYE-SABRE

FADOUL.

La signature de cette convention s’inscrit dans logique des réformes entamées par le Gouvernement en matière de gestion des finances publiques dans un contexte économique et sécuritaire difficile,  dominé par la grave crise économique et financière qui affecte notre pays depuis la fin de l’année 2014 et qui a mis en évidence les faiblesses dans la gestion de nos finances publiques. En effet, les lacunes  cumulés depuis fort longtemps dans la mobilisation des recettes hors pétroles et la non maîtrise des dépenses publiques ont fait apparaître des tensions de trésorerie ayant entrainé une accumulation importants d’impayés.

 

 

Le Ministre des finances et du budget Dr ABDOULAYE- SABRE FADOUL a rencontré le 12 février 2018 les opérateurs économiques, les responsables des banques et le patronat .C’est un grand soulagement pour les opérateurs économiques car le Ministre a annoncé la volonté du Gouvernement d’apurer la dette intérieure et ceci à travers un schéma mis en place par un comité.

 

Le Ministre des Finances et du Budget a tenu à informer l’assistance que nous avons l’autorisation de procéder au règlement d’un montant de 12 279 000 000 de FCFA. Le souci premier de cette décision est d’abord de soulager les opérateurs économiques, de relancer notre économie même si le montant paraît dérisoire à juste titre. Et, aussi de répondre à certaines urgences sociales supportées par  ces opérateurs économiques.

 

Concernant la dette des grandes entreprises, le Ministre Dr ABDOULAYE SABRE FADOUL a souligné que nous avons un certain nombre de grandes entreprises qui doivent des montants plus ou moins importants au titre de diverses taxes et impôts.

 

Le Ministre des finances et du budget de poursuivre que certaines de ces entreprises ont sollicité qu’on procède à des compensations entre ce qu’elles doivent aux impôts et ce que le trésor leur doit. Ce principe a été accepté, et cette compensation s’élève à environ 40 000 000 000 de FCFA.

 

 

 C’est un effort exceptionnel qui est fait par le MFB par le Gouvernement pour essayer d’apporter un peu d’oxygène à nos entreprises a-t-il conclut.

 

L’objectif primordial de cette convention est de bancariser et sécuriser les recettes de l’Etat. Désormais les paiements des taxes et impôts se feront dans les banques à savoir : BCC, CBT, BSIC, ORABANK, BHT, UBA et la BAC, cette action concerne tous les régies financières entre autres les impôts, la douane, les domaines et les recettes administratives (Mine, Police, Transport, environnement et bien d’autres) afin  d’éviter et de limiter l’évaporation des recettes de l’Etat.

 

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